Description
Auteur : Marc Desaubliaux
IBSN : 2-9519774-1-7
wwwmarc-desaubliaux.fr
Récit d’apprentissage de la vie, Monsieur mon passé raconte, avec plus de trente de recul, mon enfance et mon adolescence parisienne dans un milieu bourgeois plutôt victorien et catholique janséniste, du début des années 1950 à la fin années 1970.Il s’agit d’essayer de comprendre pourquoi j’étais ce que j’étais, pourquoi je suis devenu ce que je suis devenu. Persuade également que l’hérédité est une clé essentielle pour mieux se connaître, j’évoque avec humour, gravité, émotion. affection voire admiration, l’histoire de mes ancêtres ainsi que de mes grands-parents, parents, oncles et tantes, frère et soeurs, cousines et cousins, amis…Je montre, au travers de mon parcours et de mes souvenirs, ce qui se cache sous la patine de la bonne éducation et de l’apparence, éléments si importants dans ce monde bourgeois très secret où l’on apprend dès le plus jeune âge à se couler dans l’image que la famille donne d’elle-même depuis plusieurs générations. Mon enfance se déroule dans les beaux quartiers de Paris où la vie s’écoule en principe tranquillement dans un appartement envahi de meubles de famille et d’objets anciens, dans des maisons familiales de vacances, lieux de relative liberté au milieu de bandes de cousins. Je fréquente deux collèges catholiques que j’ai profondément aimés mais aussi détestés. Je parle enfin de la culture qui faisait partie de la bonne éducation bourgeoise : on se cultivait mais on ne pratiquait surtout pas un art, sauf à la rigueur en amateur. Moi, ce fut la musique… Voilà donc le jeune que, j’étais, pris dans un moule de devoir dans lequel j’essaye de me couler sans broncher. Pourtant, cela se fait dans la douleur parce que je possède une personnalité bien différente de celle souhaitée et une sensibilité exacerbée qu’il n’est pas de bon ton de montrer. Observateur, rêveur incorrigible, artiste en herbe qui n’ose rien, grand timide peinant à établir des relations avec les autres, éternel exilé…, je suis cependant un jeune bien de mon époque, aimant le cinéma, la télévision, les chanteurs yé-yé et les rockers et assez, au courant de ce qui se passe autour de lui (crise de 58, guerre d’Algérie, mai 1968…). Un garçon perpétuellement écartelé entre deux mondes.
Auteur : Marc Desaubliaux
IBSN : 2-9519774-1-7
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Récit d’apprentissage de la vie, Monsieur mon passé raconte, avec plus de trente de recul, mon enfance et mon adolescence parisienne dans un milieu bourgeois plutôt victorien et catholique janséniste, du début des années 1950 à la fin années 1970.Il s’agit d’essayer de comprendre pourquoi j’étais ce que j’étais, pourquoi je suis devenu ce que je suis devenu. Persuade également que l’hérédité est une clé essentielle pour mieux se connaître, j’évoque avec humour, gravité, émotion. affection voire admiration, l’histoire de mes ancêtres ainsi que de mes grands-parents, parents, oncles et tantes, frère et soeurs, cousines et cousins, amis…Je montre, au travers de mon parcours et de mes souvenirs, ce qui se cache sous la patine de la bonne éducation et de l’apparence, éléments si importants dans ce monde bourgeois très secret où l’on apprend dès le plus jeune âge à se couler dans l’image que la famille donne d’elle-même depuis plusieurs générations. Mon enfance se déroule dans les beaux quartiers de Paris où la vie s’écoule en principe tranquillement dans un appartement envahi de meubles de famille et d’objets anciens, dans des maisons familiales de vacances, lieux de relative liberté au milieu de bandes de cousins. Je fréquente deux collèges catholiques que j’ai profondément aimés mais aussi détestés. Je parle enfin de la culture qui faisait partie de la bonne éducation bourgeoise : on se cultivait mais on ne pratiquait surtout pas un art, sauf à la rigueur en amateur. Moi, ce fut la musique… Voilà donc le jeune que, j’étais, pris dans un moule de devoir dans lequel j’essaye de me couler sans broncher. Pourtant, cela se fait dans la douleur parce que je possède une personnalité bien différente de celle souhaitée et une sensibilité exacerbée qu’il n’est pas de bon ton de montrer. Observateur, rêveur incorrigible, artiste en herbe qui n’ose rien, grand timide peinant à établir des relations avec les autres, éternel exilé…, je suis cependant un jeune bien de mon époque, aimant le cinéma, la télévision, les chanteurs yé-yé et les rockers et assez, au courant de ce qui se passe autour de lui (crise de 58, guerre d’Algérie, mai 1968…). Un garçon perpétuellement écartelé entre deux mondes.