Rupture de culture en Alsace

Après In HOMO VERITAS, le nouvel essai de Denis Fournaud souligne un risque de régression particulier dans la gouvernance interculturelle des d’entreprises d’Europe.

Il regrette la fin en Alsace de la Brasserie Fischer, aux bières de spécialités illustres, depuis 1821.

Il a dû se retirer de la fonction de dirigeant de cette société en 2002, et il commente l’évolution actuelle des marques et produits Fischer, hors de l’Alsace.
En 1996, à Strasbourg- Schiltigheim, Capitale européenne de l’excellence brassicole, les bières Fischer ont été jointes avec succès au destin du groupe multinational hollandais HEINEKEN, entré en France avec la brasserie de l’ESPERANCE.

L’auteur constate aujourd’hui la fin du « brassé en Alsace » des bières FISCHER, qui lui semble un contresens culturel grave.
Il note alors que dans tout modèle interculturel européen d’entreprises il y a une chance économique et sociale brillante pour tous.
Le maintien de ce succès demande que la vie interculturelle de toute entreprise confédérée ne soit ni étouffée, ni fondue.
Le cas décrit par l’auteur est un exemple ce qu’il ne faut pas faire, sous des initiatives qui échappent souvent aux actionnaires globaux.
L’auteur relève que cette erreur est commune en Europe des Régions, et il cite d’autres exemples d’évolutions maladroites.
Pour les marques et produits Fischer, il espère encore une éventualité de réparation..
Entreprises citoyennes d’Occident, prenez soin de votre interculture.

Vous trouverez votre occasion d’engagement dans ce livre.
Raisonner européen vous va bien.